Jobs + Wozniak = Apple 1
Le garage des parents de Steve Jobs sur Crist Drive à Los Altos (Californie), où l’aventure Apple a commencé.
L’établi de travail dans le garage, où l’on distingue un poster de Spock sur le mur.
Steve Jobs au travail devant son “écran” (de télévision !).
Dans le même garage, un autre module de travail de Steve Jobs et Steve Wozniak, les deux fondateurs d’Apple.
Steve Jobs et Steve Wozniak.
Le fameux Apple 1.
En 1975, les micro-ordinateurs n’avait ni écran, ni clavier; on devait les programmer par des interrupteurs et on visualisait les données a l’aide de panneaux à leds ou avec des téléscripteurs. L’idée géniale de Steve Wozniak a été de concevoir un micro-ordinateur avec un vrai clavier et pouvant utiliser un simple écran de télévision comme terminal. C’était révolutionnaire à l’époque car ça n’existait pas. Il avait inventé le premier vrai ordinateur personnel.
Steve Wozniak et Steve Jobs devant leur Apple 1, en 1976.
Steve Wozniak et Steve Jobs devant leur Apple 1, en 1976.
“The Newton Crest: 1976-1976”. Le premier logo d’Aple, créé en 1976 par Ronald Wayne, parfois considéré comme le troisième co-fondateur de la compagnie. Le logo nous montre Isaac Newton assis sous un arbre, une pomme au-dessus de sa tête. La phrase sur la bordure extérieure se lit ainsi: “Newton … Mind Forever Voyaging Through Strange Seas Of Thought … Alone.” (“Newton … Un Esprit Voyageant A Jamais A-Travers Les Mers Étranges De La Pensée … Seul.”)
Évolution du logo d’Apple à-travers les années. La seconde livrée (“The Rainbow Logo: 1976-1998”) est l’oeuvre du graphiste Rob Janoff. Lorsque Steve Jobs est revenu à la barre de la compagnie en 1997, après 12 ans d’absence, il sentit le besoin de renouveler le logo, mais sans abandonner la pomme, ce qui nous emmène à “The Monochrome Logo: 1998 – Present”.
sources utilisées:
apple1.fr que je vous recommande fortement pour y voir plusieurs photographies et y lire plusieurs textes intéressants sur l’histoire des débuts d’Apple
edibleapple.com
Interpol recherche Julian Assange
Les États-Unis ont été contraints mardi de revoir le dispositif de communication interministérielle mis en place depuis le 11-Septembre après les révélations du site WikiLeaks, dont le fondateur, Julian Assange, est désormais visé par un mandat d’arrêt international.
Interpol a indiqué mardi avoir émis une «notice rouge» visant M. Assange, à l’encontre duquel la Suède a émis un mandat d’arrêt dans le cadre d’une enquête pour «viol et agression sexuelle».
Ces notices rouges sont diffusées par Interpol à ses 188 pays membres pour demander l’arrestation et l’extradition de suspects. Dans le même temps, Julian Assange a saisi mardi la Cour Suprême de Suède pour contester le mandat d’arrêt lancé à son encontre par la justice suédoise dans cette affaire de viol.
«Il y a une ‘notice rouge’ publique de la part de la Suède», a annoncé à l’AFP une porte-parole d’Interpol, confirmant la publication sur le site Internet d’Interpol de l’avis de recherche concernant M. Assange.
L’insaisissable M. Assange, un Australien de 39 ans, s’est exprimé mardi dans le magazine Time auquel il s’est adressé via le service de téléphonie sur Internet Skype depuis un lieu non précisé. Il a affirmé que la secrétaire d’État américaine Hillary Clinton «devrait démissionner, s’il peut être démontré qu’elle était derrière l’ordre donné aux responsables de la diplomatie américaine d’espionner au sein des Nations unies».
Commentant mardi les agissement du crack de l’informatique, le porte-parole du département d’État Philip Crowley a déclaré: «Je pense qu’il a été présenté comme un anarchiste. Ses actes semblent aller dans ce sens».
WikiLeaks dit avoir obtenu 250 000 télégrammes diplomatiques américains, qui ont commencé à être diffusés dimanche.
Un haut responsable du Pentagone, qui a requis l’anonymat, a indiqué que l’administration américaine allait revoir le système de partage d’informations qui relie les différents ministères entre eux et aurait permis à ce simple soldat de mettre la main sur cette montagne d’informations.
Le département d’État a indiqué de son côté avoir temporairement suspendu l’accès du Pentagone à une partie de sa correspondance.
Mais le ministre américain de la Défense, Robert Gates, a minimisé l’impact de ces fuites pour la politique étrangère américaine. «Est-ce que c’est embarrassant? oui. Est-ce que c’est délicat? oui, mais les conséquences pour la politique étrangère sont assez modestes», a-t-il déclaré.
Parallèlement, les révélations de WikiLeaks continuaient mardi d’agiter les chancelleries du monde entier à mesure qu’elles étaient publiées.
Le site affirmait ainsi mardi avoir obtenu 3456 notes de l’Institut américain de Taïwan, qui joue le rôle d’ambassade dans l’île, mais ses intentions quant à leur éventuelle publication n’étaient pas claires.
Or, le rôle des États-Unis à Taïwan est une question sensible pour la Chine, qui ne reconnaît pas l’île nationaliste.
Les notes obtenues par WikiLeaks révèlent également que les pays arabes ont suggéré aux Américains d’être sans scrupules vis-à-vis des prisonniers de Guantanamo, ou que le président égyptien Hosni Moubarak était favorable à l’installation d’un dictateur en Irak.
Le président français Nicolas Sarkozy y est décrit par les Américains en 2009, juste après l’élection de Barack Obama, comme «le président français le plus pro-américain depuis la Seconde Guerre mondiale».
Ces fuites ont été qualifiées de «criminelles» par le gouvernement américain. La diffusion de ces documents est «illégale, irresponsable et dangereuse», a renchéri l’OTAN.
Ni WikiLeaks, ni les autorités américaines n’ont expliqué comment ces notes avaient pu se retrouver en possession du site, mais les soupçons convergent vers un ancien soldat en rupture de ban de l’armée américaine, Bradley Manning, 23 ans, spécialiste du renseignement.
WikiLeaks, de son côté, a annoncé mardi sur son fil Twitter qu’il était victime d’une nouvelle attaque informatique par déni de service (DDOS), plus forte que celle qu’il a déjà subie dimanche, ce qui ne l’avait pas empêché alors de transmettre les notes aux journaux El Pais, Le Monde, Der Spiegel, The Guardian et au New York Times.
Par ailleurs, des dissidents de WikiLeaks, en désaccord avec son fondateur, ont annoncé mardi vouloir lancer leur propre site.
Shaun Tandon
Agence France-Presse
Washington
Enfin! The Beatles sur Apple… iTunes!
adapté de l’article paru sur lemonde.fr le 16 novembre 2010
A la pointe de l’innovation sonore des années 1960, les Beatles ont raté – pour le meilleur ou pour le pire – quelques virages technologiques : le CD audio et la compression audio. L’intégrale de leurs enregistrements n’est sortie sur CD qu’en 1987. Il a fallu attendre 2009 pour entendre la version remasterisée de leurs œuvres et les voir se lancer dans le jeu vidéo, avec The Beatles : Rock Band. Mardi le 16 novembre 2010, les “Fab Four” font un bond dans le numérique, en débarquant sur iTunes, la boutique musique et vidéo d’Apple.
Le groupe informatique a savamment soigné sa communication autour de l’événement. Il a lancé, depuis lundi le 15 novembre, un énigmatique compte à rebours avant une annonce liée à iTunes, qui doit être révélée mardi le 16 novembre, à 16 heures (heure de Paris) .”Demain est juste un jour comme les autres. Juste un jour que vous n’oublierez jamais”, se contente de promettre Apple. Mais le Wall Street Journal avait déjà élucidé le “mystère”, en annonçant l’arrivée des “Fab Four” sur la plate-forme d’Apple.
Selon le quotidien économique, l’accord résulterait de discussions ayant eu lieu la semaine dernière entre des dirigeants d’Apple, ainsi que des personnes représentant les intérêts des Beatles et ceux de leur maison de disques, EMI. Pour le Financial Times, il est temps pour les Beatles d’innover : les copyrights sur leurs premiers titres commencent à expirer à la fin de l’année 2012. Cet accord permettrait de combler un manque criant dans le catalogue d’iTunes, d’autant plus incompréhensible que l’essentiel des enregistrements solo de Lennon, McCartney, Harrison et Ringo Starr était disponible sur la plate-forme d’Apple.
Le WSJ n’est pas en mesure d’affirmer si d’autres plates-formes de téléchargement légale – comme Amazon.com – ont signé un accord avec les représentants des Beatles et EMI. Surtout, à l’heure du téléchargement illégal, il est difficile de mesurer l’impact de la dématérialisation de ces titres sur les ventes des Beatles. “En 2009, trente-neuf ans après leur séparation, avec 3,3 millions d’albums, ils pointaient en troisième position pour le nombre d’albums vendus aux Etats-Unis, selon Nielsen SoundScan”, écrit le WSJ. Pour l’exercice clos le 31 mars 2010, EMI affirmait, en août, avoir vendu 13 millions d’albums remasterisés des Beatles.
n.b.: les photographies ont été ajoutées à l’article original par citizen zoo
Internet et la mort
Qu’adviendra-t-il de votre compte et de vos courriels sur le Web après votre décès ? Votre famille aura-t-elle accès à vos messages les plus intimes ?
Les politiques des différents sites à ce sujet varient beaucoup. En voici un aperçu:
Avec plus de 300 millions d’utilisateurs, Facebook est aujourd’hui LE lieu de rendez-vous des internautes, qui y échangent leurs photos, y rendent compte de leurs activités et y révèlent leurs états d’âme.
Après son décès, un utilisateur laisse derrière lui une foule de souvenirs pour sa famille et ses amis. Pour cette raison, et à leur demande, Facebook peut «mémorialiser» son profil. Celui-ci devient alors accessible uniquement à ses «amis Facebook», qui peuvent y laisser des messages.
Les informations plus sensibles, telles que ses coordonnées et ses «statuts», sont retirées. De même, ses proches ne peuvent accéder à son compte pour voir ses messages privés.
À la demande de la famille, Facebook peut aussi fermer le compte.
Le proche d’un défunt peut demander l’accès à son compte de courriel Gmail. Il doit fournir une preuve qu’il est le représentant légal de la personne décédée ou chargé de sa succession, un certificat de décès de la personne disparue, ainsi qu’une preuve d’échange de courriels entre eux.
Ces documents peuvent être envoyés par télécopieur ou par la poste.
Par ailleurs, Gmail n’efface pas le compte. Toutefois, un proche qui en obtient l’accès peut l’effacer lui-même.
Le site a une politique de confidentialité plus stricte que Gmail et Hotmail.
En aucun cas elle ne donne à la famille l’accès au compte d’une personne décédée. Toutefois, les proches peuvent demander la fermeture du compte.
Selon la politique, un utilisateur qui désire donner accès à son compte à sa famille après sa mort doit le préciser dans son testament.
Hotmail a pour politique d’effacer un compte inutilisé après 270 jours et de rendre cette adresse de courriel accessible à un autre utilisateur après ce délai.
Pour accéder au compte d’un proche défunt, une personne doit fournir une preuve qu’elle est responsable de la succession, une photocopie de son permis de conduire et une photocopie du certificat de décès. Elle peut envoyer ces documents par télécopieur ou par la poste.
Ce site de réseautage social n’a pas de politique particulière à ce sujet. On agit au cas par cas. Toutefois, à la demande des proches, MySpace peut effacer la page d’un utilisateur décédé.
source: protegez-vous.ca
YouTube: 5 ans déjà!
«Nous n’aurions jamais pu imaginer que nous serions aussi gros que nous le sommes maintenant. Nous voulions juste créer une solution vidéo à partir de nos propres frustrations» -Chad Hurley, cofondateur de YouTube
illustration: (inconnu)
YouTube Turns Five! (en anglais)
source: YouTube
My YouTube story: Damian Kulash (en anglais)
source: YouTube
Lego Matrix: “Trinity Help”
création: Trevor Boyd et Steve Ilett
source: YouTube
Pour ceux d’entre vous qui ne le sauraient pas, il y a une nouvelle fonction de traduction des sous-titres des vidéos sur YouTube. Sous la fenêtre de visionnement, à droite, il y a un un petit carré rouge marqué CC en blanc. Amenez votre curseur dessus et une fenêtre transparente s’ouvrira au-dessus. Cliquez sur “Traduire les sous-titres” et un rectangle apparaîtra dans la fenêtre de visionnement. Cliquez ensuite dans la fenêtre marquée “Afrikaans” pour faire apparaître un menu déroulant où il ne vous reste plus qu’à choisir la langue de votre choix par le curseur rouge à droite.
Vous comprendrez que ce traducteur est en version Beta et que les résultats restent encore approximatifs. Mais c’est un pas dans la bonne direction, encore une fois, chez Google.
Qui ne se souvient de Lonelygirl115?
capture d’écran: YouTube
Ou du non moins fameux Star Wars Kid?
capture d’écran: YouTube
CNN Katie Couric’s Top Citizen Journalism Moments on YouTube (en anglais)
source: YouTube
“Pousse, chérie! YouTube a une limite de 10 minutes!”
caricature: Piraro
How to Catch the Latest News on YouTube (en anglais)
source: YouTube
Campagne publicitaire Evian: “Rollerbabies”
source: YouTube
Le film “Rollerbabies” créé par l’agence BETC Euro RSCG pour Evian et diffusé sur YouTube, a décroché le record du monde officiel World Guinness Book de la vidéo publicitaire la plus populaire de tous les temps. Aujourd’hui, la publicité lancée exclusivement en ligne sur YouTube a été vue plus de 45 millions de fois sur le site populaire de partage de vidéos.
illustration: (inconnu)
Page d’accueil de YouTube lors du lancement du site en 2005.
capture d’écran: YouTube
Puis, en 2006, une autre page d’accueil se présente à nous.